17h retour sur le procès
19h auberge espagnole
20h concert rap
Collectif des Luttes du Trégor
Strollad ar Stourmoù Bro-Dreger
17h retour sur le procès
19h auberge espagnole
20h concert rap
Le CLT et un grand nombre d’organisations répondent à l’appel unitaire de la marche pour la justice.
Suite au tir de FlashBall en direction des habitations à Kêr-Uhel, suite à la répression des expressions de révolte dans les quartiers populaires, suite au meutre de Nahel par la police nous demandons justice.
L’appel unitaire signé par plus de 150 organisations https://marchespourlajustice.fr/
RDV 11h devant le centre social de Kêr-Uhel à Lannion (là où le tir de flashball a eu lieu)
COMMUNIQUE DE PRESSE
RASSEMBLEMENT DU VENDREDI 15 SEPTEMBRE 2023 A GUINGAMP
Selon que vous serez antifascistes ou fascistes les lois de la République s’appliqueraient elles en priorité pour poursuivre les premiers?
On peut effectivement se le demander tant la citation à comparaître de notre ami Guy Joncour de Callac nous interroge?
Alors même qu’il est de notoriété publique que les zemmouriens les identitaires de tout acabit ont menacé de mort des éluEs, des citoyens. Que l’extrême droite taggent des locaux, dont ceux de La CGT, des monuments de la résistance au nazisme, et exercent des pressions sur les syndicats, les partis progressistes, les journalistes.
L’Etat en l’occurrence la gendarmerie, la justice, dont in fine le pouvoir politique réprime les seuls qui s’opposent à la montée des propos et actes haineux racistes et xénophobes.
Si les « lois » prescrivent que le racisme n’est pas une opinion mais un délit de qui se moque t’on?
Comme l’écrit le collectif qui a pris la défense de Guy Joncour il convient de se rappeler qu’il:
« … est bon de préciser et de marteler que propager des idées de haines, faire l’apologie du racisme, de l’antisémitisme , du nazisme comme à la Butte Rouge ces semaines dernières ne sont pas l’expression d’ une opinion mais des délits normalement sévèrement punis par la loi .
A Callac comme partout en Bretagne et ailleurs la bataille continue contre ces nervis porteurs de haine, pour que triomphent nos valeurs de Solidarité,
Fraternité, de Liberté….qui permettent depuis de nombreuses générations l’accueil de populations en souffrance venues de plusieurs continents, d’obédiences et de confessions multiples et variées . La diversité est une richesse, dans tous les domaines, végétaux, animaux et humains. »
Cette opinion est en tout point celle de La CGT, pas par effet de mode mais depuis sa création en 1895…
Nous sommes hélas le syndicat qui a payé par son sang et les souffrances endurées le prix de ses convictions et de son idéal de justice, de paix, de solidarité.
Nous appelons solennellement l’Etat, le pouvoir politique a cessé toute répression contre ceux qui se lèvent pour défendre la liberté, la solidarité, la paix entre les peuples et une Bretagne terre d’accueil.
Alors arrêt des poursuites contre Guy Joncour, c’est simple et de bon sens…
La CGT Guingamp vous appelle à un rassemblement solidaire, ouvert , pacifique mais déterminé pour soutenir notre ami Guy,
vendredi 15 septembre à 8h30
sous la statut de Sitis
place de la République
(à quelques mètres du Tribunal d’Instance).
No pasaran.
Ne dremenfont ket
Ils ne passerons pas.
Le secrétariat
UL CGT GWENGAMP /GUINGAMP
Nous organisons samedi 8 juillet à Guingamp un rassemblement à 11h00 place de la République sous la statue de SITIS » bambi ».
Un rassemblement de protestation dans le cadre de l’appel de nos confédérations et d’une myriades d’associations de collectifs et de partis dit : NOTRE PAYS EN EN DEUIL.
Vous trouverez ci après l’intégralité de l’appel.
Ce rassemblement sera entièrement pris en charge par nos trois organisations syndicales toutes et tous ceux qui veulent s’y associer seront les bienvenues. Chaque association ou parti ou tout autre syndicat ou groupe de citoyens seront libres de s’y exprimer par voie de tracts ou sous leurs drapeaux ou banderoles etc…, à l’exception de l’extrême droite.
L’intersyndicale de Guingamp.
le coordinateur,
Thierry Perennes
Notre pays est en deuil et en colère
Notre pays est en deuil et en colère. Le meurtre de Nahel tué par un policier à bout portant à Nanterre, a mis à nu les effets de décennies de politiques publiques discriminatoires et sécuritaires ciblant notamment les quartiers populaires et la jeunesse qui y grandit et particulièrement les personnes racisées et précarisées. L’escalade des violences est une impasse et doit cesser. La conception essentiellement répressive de la police, et l’évolution législative de 2017 sur l’usage des armes de service, aggravent ce que la population vit et subit que ce soit en termes de discriminations et de pratiques racistes.
Les tensions entre population et police viennent de loin et s’inscrivent dans une histoire marquée d’injustices, de préjugés, de violences, de discriminations, de sexisme… et d’un racisme systémique qui traverse l’ensemble de la société et qui n’est toujours pas éradiqué.
Les habitant·es des quartiers concernés et notamment les femmes pallient bien souvent seul·es les carences en termes de services publics. C’est bien la régression de ceux-ci, l’école, les lieux de partage et de culture, sportifs, la poste, les administrations etc. et le recul du soutien de l’État au tissu associatif qui ont largement contribué à marginaliser ces quartiers et des territoires entiers bien au-delà, particulièrement dans les Outre-mer.
L’abandon de ces populations de quartier est aggravé par le contexte économique d’appauvrissement, d’inflation, de hausse des loyers, des prix l’énergie et la réforme de l’assurance chômage. Les inégalités sociales touchent particulièrement les enfants et les mères isolées. C’est ce que montrent les révoltes qui ont secoué les quartiers populaires depuis quelques jours en réaction à la tragédie de Nanterre.
En plus de décennies de dérives d’une politique du maintien de l’ordre, de lois sécuritaires (loi sécurité globale, loi séparatisme…) et de mesures d’exception, nous assistons depuis quelques jours à des pressions du gouvernement pour mettre en place une justice expéditive. Le prononcé de mises en détention préventives systématiques avec des peines de plus en plus lourdes n’est pas acceptable !
L’urgence n’est pas celle de la répression qui ne fera que renforcer l’extrême-droite et fera reculer une fois de plus les droits et libertés.
L’apaisement durable n’est possible que si le gouvernement prend les mesures nécessaires pour répondre à l’urgence de la situation et aux exigences des populations concernées.
L’ONU a critiqué à plusieurs reprises les politiques sécuritaires et les problèmes institutionnels de racisme en France, en particulier dans les forces de l’ordre. Ce sont les discriminations qui sont un poison toxique qui décrédibilise l’idée même d’égalité et sème le désespoir. L’extrême droite en fait son lit pour diviser toujours davantage la société. Nous dénonçons l’appel à la guerre civile contre les quartiers populaires et la qualification des personnes qui en sont issues de « nuisibles » par des syndicats de policiers.
Nous condamnons la constitution d’une cagnotte de soutien au policier qui a tué Nahel à l’initiative d’un membre de l’extrême droite et l’absence de toute action du gouvernement, mettant ainsi de l’huile sur le feu.
Tout est à repenser et construire. Il faut partir de bases nouvelles, créer des espaces de discussions larges et tirer les leçons des erreurs des politiques publiques depuis des décennies, en respectant les histoires, parcours, cultures et singularités dont se nourrit notre aspiration collective à l’égalité. Il est plus que temps d’écouter et de prendre en compte les demandes des habitant·es des quartiers populaires et en particulier sa jeunesse !
La situation nécessite que le gouvernement prenne ses responsabilités et apporte des réponses immédiates pour sortir de l’affrontement :
– abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ; – une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement ; – le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ; – la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police.
Rien ne peut cependant se faire sans un autre partage des richesses, sans lutter contre les inégalités sociales. Rien ne peut se faire sans la lutte contre la pauvreté et la précarité, aggravées par le dérèglement climatique, la hausse des loyers et des charges, et sans le renforcement des services publics et de l’éducation populaire. C’est à ces chantiers que le gouvernement devrait s’attaquer au lieu de mener des politiques publiques régressives qui font le lit de l’extrême droite.
Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités et partis politiques sont mobilisés pour le maintien des libertés publiques et individuelles.
Dans l’immédiat, nous appelons à rejoindre tous les rassemblements et marches autour de ces revendications, partout dans le pays à partir du mercredi 5 juillet, à l’exemple de la marche organisée par le Comité Vérité et Justice pour Adama le 8 juillet, à Beaumont-sur-Oise, et de celle de la Coordination Nationale contre les violences policières du 15 juillet.
Nous appelons à des marches citoyennes le samedi 8 juillet dans toute la France et les territoires ultra-marins.
Nous construirons ensemble les suites de ces mobilisations.
RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AUX CAMARADES DEVANT LE COMMISSARIAT DE POLICE DE MORLAIX LE 4 JUILLET À PARTIR DE 14H30 ET LE 5 JUILLET À PARTIR DE 8H45
Les 4 et 5 juillet 2023, treize militant.es d’organisations syndicales ainsi que des
citoyen.nes engagé.es dans le mouvement social contre la réforme des retraites vont
être auditionné.es au commissariat de Morlaix, place du général De Gaulle. Ces
auditions font suite aux 5 autres ayant eu lieu le 17 mai dernier.
Selon les déclarations du préfet du Finistère, ces auditions feraient suite au barrage
sur la RN12 à l’initiative de plusieurs organisations syndicales de Morlaix. Partout
dans le pays, et Morlaix n’échappe pas à la règle, de nombreuses actions
complémentaires aux manifestations, tractages, barrages-filtrants, ont eu lieu dans un
contexte de contestation historique depuis 1968 et du rejet massif de la réforme des
retraites que veut imposer le gouvernement Macron.
Alors que des millions de personnes sont descendues dans la rue pendant plus de 4
mois, la Préfecture du Finistère suit les injonctions du ministre de l’Intérieur et
répond à la mobilisation des citoyen.nes par la répression et par la criminalisation du
mouvement syndical et social.
Les organisations syndicales, politiques et associatives signataires de cet appel
dénoncent cette politique répressive, qu’elle touche des syndicalistes ou des
citoyen.nes non syndiqué.es. En soutenant les militants convoqués les 4 et 5 juillet, nous ne faisons que mettre en pratique le principe élémentaire de solidarité indissociable de nos valeurs syndicalistes, politiques et associatives.
Nous apportons sans ambiguïté notre soutien à toutes les personnes engagées dans le
mouvement social pour obtenir le retrait de la réforme Macron et ainsi lutter en
faveur de la justice sociale.
Les organisations signataires ci-dessous appellent à se rassembler dans le calme et la
détermination devant le Commissariat de Police de Morlaix, Place Charles De Gaulle,
le 4 juillet à partir de 14h30 et le 5 juillet à partir de 8h45.
⏺ ORGANISATIONS SIGNATAIRES
– Solidaires 29
– FSU 29
– FO 29
– CGT Morlaix
– Ensemble 29
– War-Sav – Gauche Indépendantiste
– UDB 29
– PCF 29
– MJCF 29
– France Insoumise Morlaix
– EELV Morlaix
– NPA 29, NPA Kreiz-Breizh
– Révolution Permanente Brest
– LDH Morlaix, AFPS Morlaix, Confédération Paysanne 29, Comité des luttes du pays de Morlaix, Comité des luttes Guingamp, Comité retraites Landerneau
▶ DÉPUTÉ : Paul Molac, député du Morbihan, groupe LIOT
▶ CONSEILLERS RÉGIONAUX : Christian Troadec (Vice-président, régionaliste), Gladys Grelaud (PCF), Nil Caoussin et Gael Briand (UDB), Christine Prigent (EELV)
▶ CONSEILLERS DÉPARTEMENTAUX : Olwen Denes (EELV 35), Ismael Dupont (PCF 29), Pierre Le Goff (socialistes et démocrates 29), Philippe Guillemot ( Régionaliste 29), Corinne Nicol (Régionaliste 29)
▶ MAIRES : Sébastien Marie (Plouneour-Menez), Pierre Le Goff (Guimaec)
▶ CONSEILLERS MUNICIPAUX : Jean-Luc Bonis (St-Pol-de-Leon), Ismael Dupont (Morlaix-PCF), Taran Marrec (Brest-PCF), Maxime Touzé ( Douarnenez – UDB) ), Jean-Marie Goater (Rennes – EELV), Eric Bainvel (St Herblain), Primael Petit (St-Herblain), Anton Burel (Cintré)
RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AUX CAMARADES DEVANT LE COMMISSARIAT DE POLICE DE MORLAIX LE 4 JUILLET À PARTIR DE 14H30 ET LE 5 JUILLET À PARTIR DE 8H45
Les 4 et 5 juillet 2023, treize militant.es d’organisations syndicales ainsi que des
citoyen.nes engagé.es dans le mouvement social contre la réforme des retraites vont
être auditionné.es au commissariat de Morlaix, place du général De Gaulle. Ces
auditions font suite aux 5 autres ayant eu lieu le 17 mai dernier.
Selon les déclarations du préfet du Finistère, ces auditions feraient suite au barrage
sur la RN12 à l’initiative de plusieurs organisations syndicales de Morlaix. Partout
dans le pays, et Morlaix n’échappe pas à la règle, de nombreuses actions
complémentaires aux manifestations, tractages, barrages-filtrants, ont eu lieu dans un
contexte de contestation historique depuis 1968 et du rejet massif de la réforme des
retraites que veut imposer le gouvernement Macron.
Alors que des millions de personnes sont descendues dans la rue pendant plus de 4
mois, la Préfecture du Finistère suit les injonctions du ministre de l’Intérieur et
répond à la mobilisation des citoyen.nes par la répression et par la criminalisation du
mouvement syndical et social.
Les organisations syndicales, politiques et associatives signataires de cet appel
dénoncent cette politique répressive, qu’elle touche des syndicalistes ou des
citoyen.nes non syndiqué.es. En soutenant les militants convoqués les 4 et 5 juillet, nous ne faisons que mettre en pratique le principe élémentaire de solidarité indissociable de nos valeurs syndicalistes, politiques et associatives.
Nous apportons sans ambiguïté notre soutien à toutes les personnes engagées dans le
mouvement social pour obtenir le retrait de la réforme Macron et ainsi lutter en
faveur de la justice sociale.
Les organisations signataires ci-dessous appellent à se rassembler dans le calme et la
détermination devant le Commissariat de Police de Morlaix, Place Charles De Gaulle,
le 4 juillet à partir de 14h30 et le 5 juillet à partir de 8h45.
⏺ ORGANISATIONS SIGNATAIRES
– Solidaires 29
– FSU 29
– FO 29
– CGT Morlaix
– Ensemble 29
– War-Sav – Gauche Indépendantiste
– UDB 29
– PCF 29
– MJCF 29
– France Insoumise Morlaix
– EELV Morlaix
– NPA 29, NPA Kreiz-Breizh
– Révolution Permanente Brest
– LDH Morlaix, AFPS Morlaix, Confédération Paysanne 29, Comité des luttes du pays de Morlaix, Comité des luttes Guingamp, Comité retraites Landerneau
▶ DÉPUTÉ : Paul Molac, député du Morbihan, groupe LIOT
▶ CONSEILLERS RÉGIONAUX : Christian Troadec (Vice-président, régionaliste), Gladys Grelaud (PCF), Nil Caoussin et Gael Briand (UDB), Christine Prigent (EELV)
▶ CONSEILLERS DÉPARTEMENTAUX : Olwen Denes (EELV 35), Ismael Dupont (PCF 29), Pierre Le Goff (socialistes et démocrates 29), Philippe Guillemot ( Régionaliste 29), Corinne Nicol (Régionaliste 29)
▶ MAIRES : Sébastien Marie (Plouneour-Menez), Pierre Le Goff (Guimaec)
▶ CONSEILLERS MUNICIPAUX : Jean-Luc Bonis (St-Pol-de-Leon), Ismael Dupont (Morlaix-PCF), Taran Marrec (Brest-PCF), Maxime Touzé ( Douarnenez – UDB) ), Jean-Marie Goater (Rennes – EELV), Eric Bainvel (St Herblain), Primael Petit (St-Herblain), Anton Burel (Cintré)
Ce 28 juin, à nouveau, des dizaines de rassemblements en soutien aux personnes arrêtées et contre la dissolution des Soulèvements sont organisés partout en France et en Europe.
Ce 28 juin, à nouveau, des dizaines de rassemblements en soutien aux personnes arrêtées et contre la dissolution des Soulèvements sont organisés partout en France et en Europe.
Ce 28 juin, à nouveau, des dizaines de rassemblements en soutien aux personnes arrêtées et contre la dissolution des Soulèvements sont organisés partout en France et en Europe.